Voici le témoignage de Madeleine, en service civique chez Métropop’ ! depuis janvier. Confinée dans une cité de Saint-Denis, Elle nous livre son ressenti sur cette nouvelle quotidienneté, sur ce qu’elle voit de sa fenêtre, mais aussi de ce qu’elle lit dans les journaux et de ce qu’elle voit à la télé sur son quartier, sur ses voisins.

» Être confinée en banlieue, c’est différent d’autres endroits : pas de jardins, pas de balcons. Quand j’ouvre ma fenêtre, ce sont des bâtiments à perte de vue que je vois. Ce n’est pas le plus agréable, mais c’est le prix à payer pour le bien commun. Mes journées se ressemblent toutes, elles sont donc difficiles à résumer… tourner en rond dans la maison à la recherche d’occupations, profiter du soleil à travers la fenêtre, le tour est vite fait.
Lire la suite